Teenaged Lark is filled with boundless compassion and tenderness for her younger brother Termite, who cannot walk or talk. Nine years earlier and half a world away, Termite's father faced the haunting specter of the Korean War. Now, with their mother absent, the children live with their Aunt Nonie and struggle to make ends meet. Yet Lark and Termite persevere, strip away layers of their family's mysterious past, and courageously move toward an uncertain future.

*NEW YORK TIMES BESTSELLER!* From "one of those special writers capable of delivering both poetry and plot" (The New York Times Book Review) an immersive historical novel inspired by the true story of a woman physician in 15th-century China-perfect for fans of Lisa See's classics Snow Flower and the Secret Fan and Tea Girl of Hummingbird Lane. According to Confucius, "an educated woman is a worthless woman," but Tan Yunxian-born into an elite family, yet haunted by death, separations, and loneliness-is being raised by her grandparents to be of use. Her grandmother is one of only a handful of female doctors in China, and she teaches Yunxian the pillars of Chinese medicine, the Four Examinations-looking, listening, touching, and asking-something a man can never do with a female patient. From a young age, Yunxian learns about women's illnesses, many of which relate to childbearing, alongside a young midwife-in-training, Meiling. The two girls find fast friendship and a mutual purpose-despite the prohibition that a doctor should never touch blood while a midwife comes in frequent contact with it-and they vow to be forever friends, sharing in each other's joys and struggles. No mud, no lotus, they tell themselves: from adversity beauty can bloom. But when Yunxian is sent into an arranged marriage, her mother-in-law forbids her from seeing Meiling and from helping the women and girls in the household. Yunxian is to act like a proper wife-embroider bound-foot slippers, recite poetry, give birth to sons, and stay forever within the walls of the family compound, the Garden of Fragrant Delights. How might a woman like Yunxian break free of these traditions and lead a life of such importance that many of her remedies are still used five centuries later? How might the power of friendship support or complicate these efforts? A captivating story of women helping each other, Lady Tan's Circle of Women is a triumphant reimagining of the life of one person who was remarkable in the Ming dynasty and would be considered remarkable today.

Une histoire émouvante qui captive l’intérêt du lecteur du début à la fin Dans ses grands moments de réflexion, Valérie revient toujours dans ce beau nid douillet qui a bercé son enfance. Située dans les Laurentides, plus précisément dans le domaine L’Arrivée du petit village de Mont-Blanc, la Villa des Mésanges fut autant le témoin de ses rêves d’adolescente que des décisions importantes qui ont marqué sa vie. Un soir de rêverie, alors qu’elle n’était encore qu’une jeune adolescente, elle sera comme envoûtée par la beauté d’une femme riche et célèbre trônant sur la page couverture d’un magazine en vogue. Dès lors, elle fera tout pour parvenir au même niveau que son idole. C’est ainsi que son ambition l’emmènera à délaisser son époux Peter, son fils Jacob et tous ceux qu’elle aimait, pour s’établir dans la majestueuse ville de Hong Kong où elle atteindra les sommets de la gloire. Mais voilà que son rêve prend fin suite à un malheureux accident cardio-vasculaire. Devenue physiquement inapte, elle n’a d’autre choix que de revenir à la villa des Mésanges pour recouvrer la santé. Mais est-ce que ceux qu’elle a abandonnés durant si longtemps seront disposés à lui redonner sa place?

Le roman gravite autour de la vie d'une femme d'âge mûr, aidante naturelle de sa mère malade, et de celles des membres de la famille élargie. Ce récit traite de divers thèmes dont les relations parfois houleuses parmi la fratrie lorsque celle-ci est confrontée au vieillissement de la mère, à la maladie et à la mort. Sont également décrits les intérêts personnels, parfois nobles, parfois calculateurs face à cette réalité de l'existence. (tirée de la Préface)

Félicitations à Nicole Houde qui a reçu le 21 mars 2013 le Prix Hervé-Foulon du livre oublié pour son roman, La Maison du remous, paru originellement en 1986. Il est des œuvres qui traversent le temps, et celle de Nicole Houde en est une. Lauréate de plusieurs prix littéraires, elle poursuit depuis la parution de son premier livre en 1983, une œuvre d’une impeccable exigence et d’une remarquable unité de ton. Tous ses livres sont parus aux Éditions de la Pleine Lune. La présente réédition est accompagnée d’une préface de Robert Lalonde, qui écrit : « Ainsi entre-t-on dans la maison du remous où, comme dans la casa des Buendia de Cent ans de solitude, de Garcia Marquez, le temps tourne sur lui-même, où tout recommence sans cesse, puisqu’à mesure on a tout oublié. […] Le cri de Laetitia, entendu pour la première fois il y a plus de vingt-cinq ans, résonne toujours, déchire l’oreille, serre le cœur. » Laetitia vit dans une famille où règnent ignorance, pauvreté et violence. Enfant gavée de silence, elle cherche sa langue propre, celle qui pourrait nommer ses désirs.

Prudence Ann Markham era una persona molto meticolsa specialmente nel suo lavora di film editor, La sera, prima di uscire dal sui studio, era solita ripoore le pellicole in lavorazione, controllare le attrezzature, inserire l'allarme e chiudere a chiave.

Entre le conte de fées enragé et la reprise hallucinée des récits d’apprentissage, entre la forêt de Sainte-Amère-de-Laurentie et la grande ville électrique, La dévoration des fées raconte le sort de la p’tite, de Grand-maman et de Blanche absente. Mais le récit est ravalé par le chant, le mythe, la fantasmagorie, et une poésie féroce et primordiale hante la narration. Œuvre baroque et mal embouchée, La dévoration des fées est traversé de sortilèges crachés ou lyriques, dans une scansion affamée, bourrée jusqu’aux yeux de désir.

Jeanne n'est plus. Le vent d'automne a emporté le dernier souffle de celle qui a semé tant de joie et d'amour. Thomas se retrouve seul, avec la moitié de lui-même. Il doit maintenant apprendre à vivre avec le vide, le trou béant que sa femme a laissé derrière. Il y a aussi les enfants qui ne le sont plus, mais qui ont encore tant besoin de leur mère. Thomas doit faire face à l'amertume et la colère de Mélanie, au courage précaire d'Olivier, à l'émotivité de Sébastien, à la fragilité d'Armand, le père de Jeanne, avec son regard qui ressemble un peu trop à celui de sa fille... Il y a les amis qui pleurent l'absente, mais veulent réconforter Thomas à leur façon. Le deuil est difficile, la solitude pénible, les souvenirs trop présents. Mais avec le printemps, tout renaît et la vie s'impose, quoi qu'on fasse pour lui résister...

Je traîne ma grosse couverte jusque dans le salon et je m'écrase en bobettes sur mon vieux sofa moelleux. Je scrolle Instagram: des gens qui brunchent, des gens qui cuisinent santé, des gens qui gravissent des montagnes, des gens qui lisent, des gens qui se promènent en amoureux dans le Vieux-Port. Moi, mes cheveux gras, mon haleine de cheval et mon trait d'eye-liner d'y a deux jours, on se sent soudainement pas pire pathétiques. Camille, une grande anxieuse au cœur poqué, s'enfile les coups durs comme autant de gorgées de vin cheap. Elle tente tant bien que mal (mais surtout mal) de garder la tête hors de l'eau, de noyer ses malheurs qui sonnent faux. Elisabeth Massicolli est journaliste, féministe et vierge ascendant vierge. Elle excelle dans l'art de chialer (la bouche pleine, ah!), de siester trop longtemps, de s'exprimer sans filtre et de manger beaucoup, beaucoup de pâtes. C'est entre autres pourquoi elle a écrit son premier roman en Italie, entre mille cafés, quelques carbonaras et plusieurs nuits d'insomnie.